Difficile de cacher que je suis totalement gaga de mon chien, qui illumine mes journées, et m’empêche parfois un peu de travailler. Honnêtement, avoir un animal de compagnie lorsque l’on est un freelance qui travaille de chez soi est une excellente idée. Mappy, c’est le nom du chien, me rappelle chaque jour que je dois faire autre chose que de rester collée à mon écran, et surtout qu’elle m’aime. C’est fou, mais cette chienne ne fait que me dire, chaque minute qui passe, à quel point elle m’aime. Je peux vous assurer que cela fait du bien au moral.
Les débuts d’une colocation
Je dois dire que presque tous les inconvénients que l’on me présentait pour me dissuader d’adopter un chien se sont transformés pour moi en avantages. Je suis ravie de devoir la sortir plusieurs fois par jour, et de devoir passer du temps avec elle. Ce sont des moments privilégiés avec un compagnon rempli d’affection.
J’ai rencontré Mappy pour son adoption lorsqu’elle avait 6 mois. J’ai toujours été habituée au chien, mais c’était la première fois que j’en prenais un pour moi, et qu’il n’était pas à mes parents. J’ai réappris à communiquer avec cette nouvelle boule de poils fraichement arrivée à la maison. Car même si les chiens ont des comportements similaires, chacun a un peu ses manies et ses manières de communiquer. S’il y a une chose que j’ai pu comprendre très rapidement avec Mappy c’est à quel point elle est affectueuse, et très attentive. Cela la rend malheureusement même plutôt craintive, mais je ne sais pas ce qui a pu lui arriver dans son enfance. Elle est en effet née sur l’Île de la Réunion et a été trouvée seule errante. Aujourd’hui je n’imagine pas mon quotidien sans elle.
La cohabitation entre Mappy le chien avec Pinouf le lapin
Nous avons également un lapin nain, que j’ai adopté il y a plusieurs années de cela. C’est même un papy lapin même s’il continue de sortir de sa cage pour se promener et surtout voler la place du chien. Il adore aller sur son coussin pour jouer dessus. Mais quelle idée !
La cohabitation fut progressive. Nous avons fait les présentations, et durant les premiers mois le lapin dormait la nuit dans une pièce fermée. Petit à petit, nous avons pu les laisser ensemble dans la même pièce. Dorénavant la cage est même ouverte dans le salon la journée. Le lapin sort, gambade un peu, et rentre chez lui. Mappy a bien compris qu’elle ne devait pas le toucher, mais je ne sais pas si elle a bien saisi que lui lancer une balle était inutile. Fait intéressant, j’ai gardé un autre chien il y a quelque temps, et Mappy lui a bien exprimé qu’il ne devait pas s’approcher du lapin !
Les choix alimentaires pour Mappy le chien
Parmi les choses que l’on m’a énoncé dans les terribles inconvénients d’avoir un chien, il y a le fait de le nourrir. Franchement, dire à quelqu’un “ne prend pas de chien, il faudra penser à lui donner à manger”, je pense que c’est presque insultant. Cela dit il est vrai que je ne me suis pas simplifié la tâche. En effet, je veux que Mappy soit habituée à manger un peu de tout, limitant ainsi les risques d’être malade si elle est gardée par quelqu’un d’autre, ou si des gens lui donnent de la nourriture. Oui, parfois dans la rue, j’ai le dos tourné, et quelqu’un donne à manger au chien. Étrange, non ?
J’alterne donc des plats préparés par mes soins (1/3 protéines, 1/3 riz complet, 1/3 légumes), et des croquettes. Elle a aussi le droit à du pâté de temps en temps. Comble de la gourmandise, elle a même le droit parfois à une sardine à l’huile ! L’idée étant comme je le dis plus haut de l’habituer surtout à ce qu’elle mange ce qu’on lui donne, et sans que cela ne lui pose problème. En tous cas, elle se porte bien, elle a un très beau poil soyeux, et elle est même en pleine forme ! Je suis assez jalouse de sa foulée.
Les plaisirs et la nécessité de la marche
La marche en pleine journée par sessions intermittente est une chose vraiment utile. Cela permet d’aménager dans la journée des pauses plus ou moins longues, même parfois franchement courtes, mais qui permettent à moi comme à Mappy de nous dégourdir les jambes. Le fait que je travaille de chez moi est un avantage, car je peux le faire à peu près tout le temps. À l’inverse, la difficulté a été de l’habituer à nos absences pour aller faire les courses ou une activité sportive.
Dans une profession comme la mienne, je vois même la marche comme un facteur de productivité. Parfois les idées se débloquent de façon quasiment inconsciente juste en faisant un petit tour dans le quartier. Tu bloques sur un sujet ? Va donc prendre un peu l’air ! C’est parfois tout ce dont tu avais besoin.
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